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TROISIÈME VERTU PRINCIPALE

ÊTRE VRAI


32ème  affluent  : Etre sûr et respecter la parole donnée

Aux positions clefs il faut des hommes clefs, des incorruptibles, des précis. Nous héritons de la société de désordre gravement atteinte et où la conscience professionnelle est morte. La fuite devant la responsabilité, l'esquive du devoir est l'autre face de la corruption. Il faut à l'Islam se renouvelant des responsables hautement consciencieux, une administration compétente et sûre, des fonctionnaires qualifiés et intègres. La compétence morale fait défaut chez nous beaucoup plus que la compétence technique, elle même très faible. Demain, la bivalence technique et morale sera prospectée et éduquée par l'action bivalente de l'Etat et de l'Appel. Les formalités ridicules du haut fonctionnaire ou du haut responsable politique qui prêtent solennellement serment de fidélité et d'intégrité pour ensuite mieux vaquer au pillage du peuple et au vol des deniers publics sont le paravent derrière lequel les Etats corrompus dissimulent leur infirmité morale.

La décision politique de ne plus laisser le peuple écouter aux portes mais de l'associer au contrôle et à la proposition par devoir de nasîha donnera à la sclérose de la corruption le coup de grâce après les coups portés de la vérification. La porte ouverte à l'Appel d'éduquer dans la confiance et la combativité une nouvelle génération fera entrer sur scène les hommes sûrs et vertueux de la relève.

La hiérarchie étatique et administrative que tout pousse à se distinguer du peuple et à s'en éloigner devra chercher en renouant avec la base animée et réorganisée par l'Appel à se raffermir dans la vertu simple du responsable qui tire sa fierté et sa sécurité de son intégrité et non du protocole. La communauté vivra de la tension féconde entre la main d'amour de l'Appel et la main d'acier de l'Etat. La fermeté de l'un dépend de la vérité de l'autre.

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